Un jour, ma fille a disparu dans la nuit de mon cerveau_Stéphanie Kalfon
La mélancolie remplace l’enfant et la vie sombre dans la folie.
L’enfant quémande l’amour et la mère ne sait plus trouver les mains le rejet empoisonne la famille et le malaise de s’étendre.
La mère gelée a perdu la chaleur des baisers et l’enfant s’émeut de l’absente d’à côté
Le père s’extrait les mains glissant sur piano
L’unité chancelle le trois devient cobaye.
Les mères aux mots qui tachent bousillent les petites filles.
Et la science de confirmer et le vide de consumer
La grand-mère poule a façonné sa fille omelette et ça dégénère un trauma et la prise disjoncte c’est noir c’est angoissant c’est grinçant.
le drame en attente
L’enfant est un objet de curiosité tantôt à rejeter tantôt à câliner il ressemble tellement à l’original que seule une mère sait. Et d’entrer en brouillard des lésions détoxent le cerveau. Et puis de souhaiter s’extraire le fouillis large.
La neige accompagne les mois d’attente à récolter en compassion.
"Un deuil blanc" dit un passant un deuil rivière rouge dit le souvenir.
La concurrence avec le vide ne nomme pas la petite fille est orpheline dyade la maladie cruelle en coupures sentiments.
La réalité lésée le manque en suspens d’affect de temps d’espace de discernement. La petite fille lutte pour retrouver sa mère pour prouver son inexistence et puis abdique
Délire aux émotions coupées.
L’imposteur face à la mère démente glaçant.
Le manque d’amour affaisse les contours de l’enfance et tatoue la suite. La dissolution pour secourir. La petite fille dit : des fois je ne me souviens plus de moi". Sa mère attrape le souvenir et pleure. L’enfant a trouvé comment retrouver caresse sans le danger. Pourtant le glas la maladie l’emporte
Au jeu de nous prendre. Et si nous ?
Le titre un peu trop explicite aurait pu être retapé pour plus de subtilité, pas vraiment de scrupules/risques à en dire trop puisque déjà trop en couverture.
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